
De plus en plus, j’observe cette fourmilière d’êtres humains qui gesticulent çà et là. De l’occupation à tout prix, de la rentabilité à tout crin, du paraitre exacerbé, préfabriqué mis en ligne sur la toile.
L’homme seul, pris dans son unicité n’existe plus. Il est devenu un pur produit du consumérisme, disséminé dans cette obsolescence. L’idée du bien commun est une idée devenue archaïque, impensable à l’aune de nos intérêts inconditionnels et superfétatoires. Tout cela est propulsé, encouragé par le politique qui s’acharne à...
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