
Cette île est NÔTRE île, notre refuge aussi. Sibylle et le marcheur atomiste s’y rendent dès que possible. Un soir d’été, allongés sur le sol volcanique près de la Caldeira, c’était un opéra de feu qui s’offrait à leurs yeux et qui éclairait la voûte céleste. Voir loin c’est voir tôt, c’est voir la nuit des origines, la nuit archaïque, la nuit du chaos.
Orphée, protégé par sa lyre, poursuit son voyage dans le sillage stellaire. Depuis ce promontoire des songes, basculent nos pensées, notre nuit intérieure...
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